Archives pour la catégorie “Non classé”

Le CAF de Gex organisait conjointement avec l’ASPPT (l’Association Sportive des PTT) un stage de Telemark. Je ne pensais pas pouvoir y participer n’étant pas disponible à ces dates, mais finalement cela a pu être possible. J’ai donc pu m’inscrire à la dernière minute et aller chercher des telemarks de location au Balancier (derrière le col de la Faucille). Aller chercher les ski a été assez palpitant avec plus de 10cm sur la route, une dizaine de voiture arrêté au milieu de la route en train de mettre des chaines et la sensation que les gens qui n’avance pas vont vous forcer à vous arrêter. Je crois que je n’ai jamais été aussi content d’avoir des pneus neiges… en même temps j’ai l’impression de dire ca tout le temps cette saison, comme s’il y avait plus de neige sur la route qu’en station.
Il neigeait tellement à ce moment là qu’on ne pouvait pas voir les panneaux, d’ailleurs j’ai manqué la boutique de location. Sur le chemin du retour, je me suis même demandé si je ne m’étais pas trompé de route vu qu’il n’y avait plus personne jusqu’à ce que je rencontre une voiture immatriculé dans le 25 et qui roulait vraiment tout doux (je vous laisse chercher le jeu de mot). J’ai eu de la chance de ne pas avoir à mettre les chaines, mais à mon arrivée je me suis empressé de tester mes nouvelles chaines à neige pour voir si elles fonctionnait bien.

Me voilà donc tout équipé pour le stage telemark. Rendez vous donc à la station de Crozet et de découvrir qui participe au stage. Nous sommes un quinzaine à faire le stage entre CAFiste et Clubers (les gens du club de ski de Crozet).

Pour ce premier jour, nous apprenons les mouvements de base. En fait, les virages se font beaucoup via les épaules et le bassin qui permette de faire le balancier pour lancer le mouvement. A la différence du ski alpin, il faut engager le virage avec le ski amont vers l’extérieur (vous suivez ?), puis pivoter tout en ayant le bon équilibre sur les jambes, en fait il faut plier suffisamment les jambes mais pas trop, mettre suffisamment son poids sur l’avant mais pas trop et écarter les pieds mais pas trop… tout est une question de dosage.

A la fin du premier jour, je commence à peu près à comprendre comment il faut faire sans trop tomber (moins de dix fois dans la journée). Cela fait bizarre de se retrouver “débutant” mais c’est marrant, on a envie d’apprendre et de progresser. L’ambiance est vraiment sympa, tout le monde s’entend bien, Krys et Yves nous apprenne plein de choses avec pleins de petits exercice amusant et l’on se fait plaisir. Les sensations sont vraiment bien et surtout, le télémark ca a la classe.

A la fin de la journée, les cuisses sont bien fatiguées et le repose bien mérité. Nous reprenons les oeufs pour redescendre en bas de la station en essayant d’expliquer à des petits enfants italiens comment fonctionne le telemark… pas facile.

Total sorties ski : 5

Quelques photos :

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Depuis longtemps j’avais envie d’aller au sommet de cette dent que je vois depuis ma tendre enfance et encore plus envie depuis que nous étions à son pied pendant le Tour du Beaufortain. Seul problème : un pas de 6b !
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Le Mont Aiguille, c’est tout un symbole. En effet, c’est l’ascension de ce rocher qui marque les débuts de l’alpinisme dans l’histoire.

En 1942, le roi Charles VIII décide de gravir le sommet du Mont Aiguille. Plusieurs légendes sont contées autour de ce mont, des déesses miraculeuses jusqu’à l’antre du Diable. Le roi décide d’envoyer ces meilleures échassiers (les soldats chargés de prendre d’assaut les murailles ennemies) afin d’éliminer le mal qui habite au sommet. Pour cela, plusieurs gens d’église faisaient partie de l’expédition, ainsi que des huissiers chargés d’authentifié l’exploit. Le mal étant éradiqué par la montée de l’expédition, la seconde ascension attenda l’année 1838. Le chemin par lequel premiers alpinistes sont montés n’existe plus maintenant, le flan de montagne s’étant effondré.

Plus de 500 ans plus tard, nous revoilà reparti à l’ascension de ce véritable monolithe. Quels obstacles allons-nous devoir franchir pour arriver au sommet ? Devrons nous combattre les ténèbres en arrivant au sommet ?
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Nous voilà reparti avec Loïc pour faire une nouvelle course. Au début nous voulions simplement faire une petite rando vers Annecy, mais en regardant un peu ce qu’il y avait, on est parti sur l’idée de faire les Dents de Lanfon en passant par les crêtes.

Nous commençons au parking de l’accrobranche de Talloires où nous avons une première très joli vue sur le lac d’Annecy depuis le départ des parapentes. Nous prenons la route forestière pour rejoindre les dents de Lanfon qui sont bien indiquées jusqu’à une piste complètement déformée par une coupe de bois. Nous continuons sur le chemin qui nous semble le plus logique. Nous avancons tranquillement et nous croisons un marquage assez récent ressemblant à un chemin d’une course pédestre, partant un peu n’importe où dans le bois. Nous décidons de continuer sur le gros chemin mais au bout d’un petit moment, nous faisons demi tour car nous trouvons que nous descendons un peu trop. Nous revenons donc à ce fameux marquage et nous nous y engageons sans savoir où nous allons atterrir. Le chemin est assez raide et le poids de tout le matériel de grimpe se fait un peu sentir.

Nous arrivons enfin à une sorte de col, nous croyons que c’est le col des Frêtes, mais en fait celui ci est un peu plus loin. Arrivé à cette sorte de col ou mini crête, nous commençons à nous demander où est le chemin. Nous croisons alors un père avec son fils de 8ans qui se baladent dans le coin et le père se demande justement si ils font faire la crête, par contre il ne connait pas le départ. Nous attendons sa femme et le reste de la famille car sa femme connais un peu mieux le chemin. Arrivée avec sa petite fille de 4 ou 5ans, elle dit clairement à son mari que c’est trop dangereux pour les petits et qu’il est hors de question de se lancer la dedans et d’ailleurs elle ne sait pas trop où est le départ…

Nous relisons un peu le topo, nous regardons les différents chemins qui s’ouvrent à nous. Soit nous allons sur la gauche et nous longeons le rocher, soit nous partons vers la droite pour rejoindre un pierrier un peu plus bas. Nous décidons de partir à gauche et heureusement, ce fut le bon choix, nous voyons quasiment tout de suite des câbles qui marquent le départ.

Nous nous équipons et nous attaquons les hostilités. Le début est assez tranquille est le chemin facile à trouver car il suffit de suivre le câble. Nous arrivons ensuite dans une brèche dans la montagne. A ce moment là, pas trop de question à se poser, il faut partir vers la droite. Au bout d’un moment, nous prenons de la hauteur, et nous voilà vraiment sur la crète avec un peu de gaz. A partir de là, le chemin est moins clair, ou plutôt il y a plein de chemins différents qui finissent tous par se rejoindre. Nous avançons en corde tendue en mettant quelques points d’assurages par ci par là car il y a vite du vide, par contre la vue est vraiment magnifique, en dominant bien le lac d’Annecy. Chose amusante, côté lac d’Annecy, il faut grand beau, et de l’autre côté les nuages noires sont bien présents et menaçant.

Ensuite, nous tombons sur le seul et unique équipement de la crête. C’est une sangle avec un maillon rapide pour faire un rappel. N’étant pas encore très au clair pour les techniques de rappel, nous préférons nous assurer comme en moulinette et en désescaladant. Nous continuons notre chemin sur la crête sans vraiment savoir à chaque fois si c’est le bon chemin. De temps en temps nous trouvons de gros point rouge marqués sur la roche, mais des fois nous les voyons après avoir pris un autre chemin. En fait ce n’est pas bien grave car la difficulté n’est pas bien différente, le tout est d’avancer en se sentant rassurer.

Après cela, nous arrivons sur un sentier, mais grâce à nos topos (CAF Chambéry et CampToCamp), nous n’avançons pas trop sur ce chemin. En fait, il y a un point rouge au début du chemin, nous prenons à gauche puis quelque mètres plus loin, il faut monter dans une chemin sur la droite (un autre point rouge nous rassure sur le bon chemin, mais ce point n’est pas visible du chemin). Nous commençons à entendre un couple qui nous suit, un peu au loin. En fait un peu après nous les voyons faire le rappel.

Nous continuons à avancer, et nous voilà vers la fin de la partie grimpe. En effet, nous arrivons au dernier obstacle avant la dernière dent et le début du chemin de retour. Soit nous devons gravir un mur, soit passer par un petit trou. Le mur ne semble pas évident et le trou très amusant, nous choisissons donc le trou. Il faut commencer par monter sur une plateforme sans tomber et ensuite faire passer les sacs sans les faire tomber. En effet, on ne passe pas avec les sacs sur le dos alors il faut bien s’organiser pour cela. Dans notre cas, nous avons attacher les sacs sur la corde pour les tirer après être passer, puis le second suit.

Nous voilà enfin arrivée au somment de la dernière dent. Le temps commence à devenir inquiétant et l’orage plus très loin. Nous décidons quand même d’attendre le couple qui nous suit pour s’assurer qu’ils arrivent au bout correctement. Nous descendons ensuite avec eux et à ce moment là, la pluie commence à tomber. Heureusement nous avons fini la grimpe et nous avons bien rangé la corde, mais le chemin est vite glissant et chacun à notre tour nous évitons de justesse de glisser.

Sains et saufs, nous arrivons tous aux chalets de l’Aulp Riant Dessous. Nous nous séparons et nous partons direction le col des Frêtes pour rejoindre la voiture. Après avoir passé le col, le temps s’étant calmé, nous mangeons enfin nous un arbre car nous avions préféré de finir la grimpe avant que la pluie ne nous tombe dessus. Après ce repas bien mérité, nous redescendons bien tranquillement à la voiture sans accrocs.

C’est une ballade très sympathique et pas très difficile. La vue vaut vraiment le coup, il suffit d’avoir un peu d’assurance. Il y a moyen de partir d’autres endroit, le plus facile étant surement le restaurant du chalet de l’Aulpe (ou même d’Alex).

Pour conclure, c’est une classique qu’il faut absolument faire.

Quelques photos :

Le tracé :

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Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

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Dimanche à Bastia. C’est le jour pour une vraie rando après l’échauffement de la veille.
J’avais repéré un chemin de randonnée partant de Bastia, pour cela il me suffisait de prendre le bus (toute une histoire de prendre le bus en Corse, surtout quand il y a 3 arrêts au même carrefour sans aucun affichage). D’après ce que j’avais vu et d’après la vitesse moyenne d’un randonneur j’avais prévu de m’arrêter au premier col, ou au pire monter jusqu’à une certaine heure et faire demi-tour pour rejoindre le bus (surout que je ne partais qu’avec des baskets, 2l d’eau et un sandwich).

Départ au port de Toga. Le début suit la route… et ça grimpe. Arrivé en haut de la route, cette fois je trouve le chemin facilement. Le chemin monte dru, en caillou et même tôt dans la journée il fait chaud le soleil étant bien présent. D’ailleurs, au moment de mettre un peu de crème, je me fais doublé par un coureur (treker). Du coup j’ai l’impression de me trainer et je me demande si je vais arriver jusqu’au col.
Je continue ma route, et un peu plus tard, après avoir profiter d’une belle vue en hauteur sur Bastia, je traverse le village de “Ville-di-Pietrabugno” (ça c’est du nom). Et là, surprise, je dépasse mon coureur qui buvait à un bassin. Je commençais à être chaud et cela m’a redonné un coup de pêche supplémentaire.
A partir de là, le chemin devient un peu moins raide, un peu plus à l’ombre jusqu’à arriver sur un tout petit plateau avec une vieille bergerie. A cette endroit, je crois un groupe complet de coureur avec l’équipement au complet en train de parler du monte Stello, en disant que c’est un bel endroit mais que c’est vraiment trop loin pour y aller en courant.
Passé la bergerie, j’arrive vraiment dans le maquis avec plein de petits chemin différents. Chose amusante, il y a des vaches qui traine dans les maquis sortant ou se cachant dans les buissons. Cette partie est assez plate et je me surprends même à courir un peu pour gagner un peu de temps me sentant tout léger avec mon petit sac et mes baskets. Toutefois, je prends quand même le temps de profiter du paysage. L’endroit est très verdoyant et j’imagine toutes cachettes qu’il peut y avoir dans les différents recoins.
Je continue mon chemin et j’arrive à un superbe endroit “Bocca di San Leonardo” (j’ai l’impression que “bocca” veut dire “col”). C’est une sorte de roc arrivé à un col où il est possible de voir la mer des deux côté du cap corse. Vraiment très joli. Il y a même une petite cabane surement utilisée par les bergers. A cet endroit j’ai croisé un couple qui prévoyait de faire le tour du cap, mais il était un peu comme moi à ne pas savoir où on était exactement (je n’avais pas de carte et la leur commençait un peu plus loin). La seul indication qu’il avait c’était une chapelle sur leur route.
Je décide de les laisser manger pour avancer un peu et trouver un autre endroit pour manger. Un peu plus loin, j’arrive à un petit sommet tout plat. A ce moment là, en voyant l’altitude, j’en déduis que j’ai largement dépassé l’objectif que je m’étais fixé (j’ai déjà passé deux col et arrivé au sommet suivant). Et hop +1 pour la motivation. Il se trouve que ce sommet est un croisement entre deux chemins : le rouge ou le jaune ? Je vois pas très loin de là un panneau indiquant une chapelle, je décide donc de suivre ce chemin pour recroiser le couple au cas où.
A partir de ce moment, le chemin change d’aspect. L’environnement devient un peu désertique avec quasiment que des cailloux et une ou deux vaches.
Je longe la crête d’un sommet et j’entame une descente pour me rapprocher de la chapelle. Juste avant d’arriver je crois deux madames en train de faire le plein à une source (bon à savoir). On discute un peu fleur et chiffon et je leur dit que j’ai vu un panneau indiquant “Monte Steppu”. C’est en fait le somment dont parlait les coureurs… je leur demande à combien de temps il est et elles me répondent bien 2h30-3h… aie, cela va faire un peu juste car il ne me reste pas tant de temps que cela. Mais en même temps, je leur demande combien de temps elles ont mis pour faire leur ballade et je me rend compte que je vais légèrement plus vite.
Je les remercie pour les infos et je décide d’aller manger à la chapelle un peu plus loin et de décider si je vise le mont ou pas. Pendant que je mange, je revois les deux madames et le temps commençant à se gâter, elles me proposent de redescendre avec elle sur une ville pas très loin et de me ramener ensuite sur Bastia (après avoir qu’elles aient été surprises d’apprendre que je venais de si loin). Très poliment, je décline leur très gentille proposition mais j’avais vraiment envie d’aller voir ce somment et de revenir à pied.
Je décide de ne plus trop trainer et d’accélérer le pas. Mais à partir de ce moment là, ça commence à être dur. Le soleil a laissé la place au brouillard, la transpiration commence à geler sur mes bras et les jambes commencent à se faire sentir… mais le somment n’est “sûrement” pas très loin. Je suis content de voir les kairns tous les 5m qui m’évite de me perdre (j’ai failli me perdre à un moment où il fallait grimper un tout petit peu, mais ne voyant plus aucune marque, je fis demi-tour avant de retrouver le chemin).
Je croise différentes personnes qui me donner quelques indications dont un vieux baroudeurs qui me regarde et me dis qu’il me reste 35min avant le somment. Je continue sur ma lancer et j’essaie de tenir ce chrono.
Pour m’aider, un chien me montre le chemin (un chien qui suivait un autre groupe mais qui n’appartenait à personne). Ce chien m’a montré le chemin jusqu’au bout (même si des fois j’étais devant). J’arrive au somment pile poil avec le timing indiqué, et là je regarde le superbe brouillard qui est présent. Je devine très rapidement un rive au loin, mais c’est bien tout ce que j’ai pu voir.

Je ne m’éternise pas et je commence la redescente. Il faut que je me dépêche pour ne pas manquer le bus. Pour cela, je me mets à courir de temps en temps, la fatigue c’est dans la tête. Au bout d’1h30 de descente, je me retourne et je vois le monte Stello tout dégagé… mais tant pis pas le temps de trainer. La descente fu assez rapide et au final j’ai eu largement le temps de prendre le bus.

Pour résumer, cette rando a été très belle et je crois que c’est une des plus longe rando que j’ai eu faite sur une seule journée :
- 10h de marche
- 33km (spécial pour Poy)
- dénivellé +1800m / -1800m

Voici le profil en long de cette promenade :

Et voici le tracé :

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Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

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Et là, c’est le BUT !

But morez

On était motivé pour enchainer 3 via … mais c’était sans compter sur Morez :

départ en voiture pour Morez avec un temps magnifique. Le trajet dure plus longtemps que prévu (estimation google maps un peu fausse, tronçonnage d’arbres sur la route…). Plus nous approchons de Morez, plus le temps devient menaçant.

Et après tout s’emballe… on arrive à Morez, une petite ville toute enclavée. C’est une ancienne ville métalurgique, avec des maisons barder de tôle (de la tôle sur les murs) et une ambiance peu attrayante.

On arrive sur le parking où l’on voit une pancarte via ferrata (avec un dessin de randonneur pour la petite histoire). Chouette on se dit que c’est indiquée. On se gare, on lit le panneau du parking : “gratuit pendant 5h, pas le droit de rester plus de 8h entre 8h et 18h, 1h = 2€”. Après délibération, les 5 premières heures sont gratuites ensuite il faut payer … mais a t-on le droit de rester après 18h heure ? lol.

Bon, nous nous équipons et le premières gouttes de pluies se font sentir. Après quelques hésitations, nous continuons la marche car tout autour de Morez il fait grand beau. Nous suivons les pancarte qui nous mène entre les maisons, dans de petites rues, bien sympas quand on rigole sur le côté Morose de Morez. Les petits slogants fusent : “Morez c’est Morose”, “Mourez à Morez” …

Et là c’est le drame, nous arrivons au panneau de la via avec l’interdiction de faire la via (panneau + arrêté municipal). En fait la via n’ouvre que le 1er mai. Il y avait de forte chance que ce ne soit que pour des questions de responsabilités et que la via soit bien équipé, mais nous avons préféré de pas la tenter.

Nous appelons l’office du tourisme (ce que nous aurions du faire avant) pour nous diriger sur un autre site, mais les autres sites sont à minimum 1h30. Nous décidons donc de rentrer, c’est le but.

Cotation du but : b4fm
Pour comprendre les buts : http://nimp.crew.free.fr/V2_NimpBut.php

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Et hop, on enchaine directement sur une deuxième via dans l’après midi (après celle du Pomier tellement rapide).

L’accès à la via est très rapide. Il suffit de se garer sur le parking qui est juste à la sortie du tunnel en arrivant à Fort l’Ecluse (sortie cad côté Bellegarde). Ensuite, le départ est à moins de 5min et bien indiqué.

La via est vraiment sympa. Elle est côté AD+ (Assez Difficile +) et mériterai presque un peu plus car on a vite fait de monter sur les bras, toutefois on peut s’arrêter de temps en temps pour souffler un peu. La via est bien exposée et il peut vite faire chaud si le soleil est présent. On a une belle vue sur le Rhône pendant toute la montée.
Cette via a un petit côté amusant dans le sens où l’on part du Fort Inférieur pour grimper conquérir le Fort Supérieur. Avant d’arriver en haut, il faut longer le grand mur fortifié et traversé un pont de singe avant de se retrouver devant un petit pont-levis.

Pour le retour, je ne suis pas certain que l’on ai pris le bon chemin, cela nous a paru bizarre de finir sur la route. Il y a surement moyen de couper à travers champ (mais attention si il y a du foin).

Pour résumer, c’est une via à faire.

Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).


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Enfin, elle est arrivée…
Après 2 mois sans voiture, cela fait plaisir de savoir que l’on va pouvoir bouger un peu. Pour autant, ce n’est pas une raison pour arrêter le covoiturage, car le covoiturage c’est bien.

En tout cas, un beau cadeau d’anniversaire !!! (Je pense que le garage a fait exprès ;-)   )

Voici 3 petites photos après avoir réceptionné la voiture et être aller au col de la Faucille :

Seulement 4km au compteur...

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Allez, c’est décidé, je fais comme tout le monde. Je créé mon blog, que c’est original n’est ce pas ?

Dans l’idée, y aura surtout des photos ou des petites choses que je trouve sympa.
Le truc original, c’est que pour le moment, quasiment tous les articles seront en privés alors contactez moi pour que je vous donne l’accès.

Louis.

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