Archives pour la catégorie “Randonnée ski”

Deuxième course dans les Bauges avec Pierre, Cendrine, André… et en guest star “Virginie” pour sa toute première randonnée à ski.

La météo annoncé devait être clémente mais au moment de prendre la voiture, le ciel était plus que voilé. Tout au long de la route nous avons espérer être au dessus des nuages et une fois arriver à Précherel ce fut le cas. Un beau ciel bleu et une mer de nuage en dessous de nous.

Nous nous équipons, nous vérifions le matériel et nous faisons un petit exercice de recherche d’ARVA avec Virginie pour qu’elle apprenne à s’en servir. Une fois tout cela fait, nous nous mettons en route, mais malheureusement le ciel commence à se couvrir. Toutefois cela n’arrête pas notre entrain et nous nous dirigeons vers la piste forestière qui monte à travers la forêt.

Après quelques instants, nous nous arrêtons pour changer nos couches de vêtements car il fait très doux. Le montée est plutôt douce en empruntant la piste sauf pour Virginie qui n’a pas des chaussures de ski de rando, mais des chaussures de ski de piste. Autant dire que c’est comme si elle marchait avec des sabots en plomb. Malgré cela, elle ne bronche pas et continue la montée.

La montée se résume à différents lacets à travers les arbres avec par moment des points de vue dans la vallée où l’on peut voir une mer de nuage sur un fond gris.

Au bout d’un moment, les ampoules commencent à handicaper Virginie (faut être un peu fou pour proposer à quelqu’un de faire de la rando sans avoir le matériel correct). Petite séance pansements pour Virginie.

(Pour ceux qui veulent, voici le lien vers l’image “non censuré”).

Toujours aussi courageuse, Virginie continue la route et nous arrivons sur la crête. Nous voyons au loin notre objectif et nous profitons rapidement de la vue avant de nous mettre un peu à l’abri du vent derrière un chalet où nous pic-niquons.

Nous enlevons les peaux pour redescendre en empruntant le même chemin. En effet, le versant que nous pensions prendre n’avait pas l’air très bien enneigé et un peu risqué. Du coup, nous sommes redescendu sur la piste ce qui n’était pas très intéressant avec une neige un peu croutée.

Une randonnée de +600/-600m de dénivelée sans vraiment de charme mais un grand bravo à Virginie pour avoir endurer tout cela avec de mauvaises chaussures.

Quelques images :

Voici le tracé :

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Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

Nb sorties ski alpin : 6
Nb sorties ski télémark : 2
Nb sorties ski randonnée : 4
Total dénivelé randonnée : +1800m / -1800m
Total sorties ski : 12

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Et c’est parti pour le 2e jour du stage de sécurité.
(Lien vers le Jour1)

Nous commençons cette nouvelle journée par un petit cours sur les noeuds. Chacun apprend les noeuds de base qui peuvent être utiles et s’entraine à les faire et refaire. Ensuite, nous écoutons les conseils des chefs de course et personnellement je retiens ce qui m’intéresse (comprendront ceux qui comprendront).

Ensuite, le beau temps étant avec nous, nous nous préparons à prendre la route, les randonneurs à ski et les raquettistes empruntant le même chemin à travers les bois. Le chemin est très étroit pour les skis, mais nous nous faufilons à travers les arbres avec une pente plus ou moins raide. Au bout d’un moment, nous rattrapons les raquettistes qui étaient partis avant nous, comme quoi en ski on va plus vite ;-) . Nous continuons à suivre ce chemin en faisant des petits exercices de cartographie consistant à déterminer où nous sommes sur la carte. Pendant que nous continuons à monter, nos chefs de courses nous parlent un petit peu de la faune qui vie dans le Jura et particulièrement des Tétras dont une réserve existe dans le coin.

Après un petit moment, nous sortons de la forêt dense pour arriver dans une zone un peu plus dégager. A ce moment là, le paysage est vraiment beau avec de petits vallons recouvert de neige et des sapins tout blanc. La lumière permet d’avoir une ambiance un peu feutrée grâce à un mélange de soleil, ciel bleu et nuages.

Nous progressons dans cette zone jusqu’à trouver un endroit pour pic-niquer. Après avoir mangé, nous refaisons un exercice de recherche d’ARVA puis nous faisons un abri en creusant dans une congère. Alors qu’un trou était en cours, nous avons décidé d’en faire un deuxième en parallèle. Je pris alors ma pelle pour creuser avec ferveur tel un explorateur à la recherche d’un trésor. Il fait vite chaud quand on se met à creuser à quatre pattes dans un trou exigüe. Ensuite, nous décidons de faire rejoindre les deux trous et l’explorateur se transforme en creuseur de tunnel comme le tunnel sous la manche avec une bonne poignée de main en rencontrant l’autre creuseur.

Après ce bon échauffement, nous refaisons chauffer les skis et remontons sur le haut de la station de Crozet, toujours en parcourant un joli paysage. Nous croisons un peu les pistes mais nous empruntant des pentes différentes. Ensuite, nos chefs de course décident de passer en dehors et nous emmène dans un endroit assez improbable dans le brouillard… mais nous retrouvons quand même le haut de la station et nous enlevons nos peaux pour redescendre tranquillement au télécabine afin de boire un coup pour célébrer la fin du stage (pour un total d’environ +300/-300m).

Voici le tracé :

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Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

Nb sorties ski alpin : 6
Nb sorties ski télémark : 2
Nb sorties ski randonnée : 3
Total dénivelé randonnée : +1200m / -1200m
Total sorties ski : 11

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La CAF organisait un stage sécurité pour ski de rando et raquettes. Après de longues argumentations qui ont du durer au moins dix secondes, je réussi à convaincre Loïc de m’accompagner à ce stage et de tester le ski de rando. Nous voilà donc parti pour deux jours pour apprendre les bases de la sécurité en ski de rando.

Nous partons du télécabine de Crozet où la matériel de sécurité est distribué. Après un certain temps d’organisation, nous prenons les cabines et une fois en haut nous nous répartissons en petit groupe de 5 ou 6 (nous devions être 25-30 en tout). Nous nous groupons avec “Pep” notre chef de course pour la journée.

Sans plus tarder, nous commençons à monter pour nous réchauffer un peu sous le brouillard givrant qui était là. Après un petit moment, nous nous arrêtons pour une explication sur les principaux danger en montagne et sur l’explication du fonctionnement d’un ARVA (Appareil de Recherche de Victime en Avalanche). Comme nous explique Pep, le but est de comprendre les différents modèles, de comprendre les différents boutons pour savoir se servir de tous les modèles et ensuite de ne plus avoir de questions à se poser et pour enlever tous les doutes. A chaque explication une ou plusieurs questions en découle mais Pep très patient nous répond avec connaissance.

Après cela, nous reprenons brièvement la route pour trouver l’endroit propice à une exercice de recherche d’ARVA. Pep part dans le brouillard et va cacher un ARVA. Maintenant, à nous de nous organiser comme il nous a expliqué. Pour faire simple, vu que nous étions en groupe (donc plusieurs), nous vérifions que tout le monde est en mode réception pour qu’il n’y ai pas d’interférence avec la pseudo victime. Ensuite, nous descendons le long de la pseudo avalanche en nous répartissant sur la largeur. Le but est tout d’abord de capter le premier signal pour ensuite affiner la recherche. Une fois le premier signal, il faut informé les autres et en fonction de son ARVA faire des réglages. Pour ma part, ayant un numérique indiquant la distance et la direction, je ne me pose pas trop de question et je suis la flèche et je trouve assez rapidement la pseudo victime qui était enterré sous la neige. Loïc quand à lui, arrive un peu après avec son ARVA analogique. Je trouve que les numériques sont plus rapide à trouver une victime car il n’y a pas de réglages à faire en fonction de la distance. Toutefois, il y a certain cas où un analogique peut être plus précis qu’un numérique. A savoir que lorsqu’on arrive sur l’emplacement présumer de la victime, il est important de mettre son ARVA au niveau de la neige et de faire une croix avec l’ARVA en écoutant la fréquence des bips afin d’affiner au maximum la position (ensuite, il faut sonder et peller).

Nous faisons plusieurs recherches où celui qui trouve l’ARVA le recache ensuite. C’est vraiment l’exercice le plus important et il faut le maitriser.

Nous reprenons à nouveau la route pour rejoindre le point de rendez vous. A l’endroit prévu, nous retrouvons un autre groupe qui avait construit un igloo. Ils avaient construit cet igloo en faisant un tas avec leur sac, en recouvrant ce tas avec une couverture de survie et en recouvrant le tout avec de la neige. Une fois bien recouvert, il faut faire un trou qui sera la porte et extraire les sacs. Et voilà, l’igloo est construit. J’ai été assez surpris par la solidité de l’igloo, on peut même monter dessus à ski et sauter dessus (preuve à l’appui).

Nous prenons donc notre pic-nic ici avec tout le monde et Pep nous explique différent principe de sécurité et ensuite nous montre un exemple de trousse de secours avec ce qui semble important pour lui. On voit à ce moment là que la montagne est vraiment une question d’expérience et que chacun à sa vision des choses. Ce que j’ai bien aimé chez Pep c’est qu’il était très logique dans sa façon de penser et dans sa façon d’expliquer les choses et sent qu’il est constamment à remettre en cause ses acquis pour avoir la meilleur sécurité possible.

Après avoir mangé, nous participons à une recherche multi-victimes. Tout le monde se met à chercher dans tous les sens. L’ARVA indique plusieurs direction mais il faut se focaliser sur une victime à la fois. C’était assez amusant (dans le contexte d’un exercice), surtout quand on retrouve plusieurs ARVA par rapport aux autres ;-) . Certains chefs de course s’amusait aussi à se balader avec leur ARVA en mode émission ce qui créait des interférences mais apprenait également à vérifier que tout le monde soit en mode réception.

Nous reprenons ensuite la route pour rejoindre le prochain point de rendez-vous. C’est le moment de faire un peu d’orientation avec la carte et/ou le GPS. Le brouillard étant plus que présent, l’exercice est vite délicat. Pep en profite pour nous expliquer encore des choses sur la route en nous montrant certain phénomène comme la neige soufflée par le vent ou les différentes couches de neige. Ensuite, nous faisons un exercice de sondage où Pep se met sous 40cm de neige et tout le monde sonde à son emplacement pour sentir la différence entre le sol et une personne. Je pense que si quelqu’un était passer à ce moment là, il se serait demandé quel pari Pep avait perdu, on aurait dit qu’on était tous en train de “piquer” Pep.

Après tout cela, nous arrivons enfin au point de rendez vous où nous nous séparons entre ceux qui font au refuge et les autres. Nous partons dans la direction du refuge en suivant la piste sans trop savoir exactement où le refuge se trouve. Nous restons à côté des raquettistes en essayant de ne pas les perdre dans le brouillard. Après une petite descente, nous arrivons enfin au refuge. Au final, nous avons fait +300/-300m de dénivelée.

Au refuge nous faisons mieux connaissance avec les chefs de course restant et surtout avec le groupe de raquettistes avec qui nous avons passé une très bonne soirée (speed-up, bonne ambiance…) puis nous partons nous coucher pour la journée du lendemain.

Voici le tracé :

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Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

(Lien vers le Jour2)

Nb sorties ski alpin : 6
Nb sorties ski télémark : 2
Nb sorties ski randonnée : 2
Total dénivelé randonnée : +900m / -900m
Total sorties ski : 10

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Et c’est parti pour la première sortie de mes skis de rando avec Aurélien, Guillaume et Jérémy. Nous nous rejoignons au parking de l’autoroute de Chignin avant d’atteindre le petit village de Sainte Reine – Routhennes, juste après le Col du Frêne au dessus de Saint Pierre d’Albiny (là je fais comme si je connaissais bien le coin mais ne j’étais jamais allé dans ce coin des Bauges).

Une fois arrivée, je comprends vite que cela va être difficile pour moi vu le niveau de ceux qui m’accompagnent (je n’ose pas dire le nombre de sortie qu’ils font à l’année), toutefois, j’arrive bien à les suivre les 15 premiers mètres et encore parce qu’Aurélien m’explique des petits trucs en m’attendant.

Abandonnant tout de suite l’idée de les suivre, je prends mon propre rythme et je découvre en même temps mon nouveau matériel. Le changement de cale est plus dur car il faut le faire à la main (et pas au bâton). Ensuite, j’apprends à passer de nouveau obstacle comme des murets et des barbelés en me demandant où est-ce qu’il m’emmène. Ensuite, nous empruntons un petit couloir avec plein de conversion (les virages) à faire, un bon entrainement. Au loin, Jérémy nous attends avec son surf sur le dos et à chaque fois que nous le rejoignons nous faisons de petites boutades ski VS surf dans un bon esprit (à savoir qu’il fait également du ski et que lorsqu’il ski il chambre les surfeurs… bon esprit).

Je continue donc mon ascension tranquillement même si mes compagnons sont en général beaucoup plus haut malgré le fait qu’il m’attendent. Heureusement par moment, Aurélien l’homme d’affaire reçoit des coups de téléphone, jette toutes ses affaires par terre pour répondre et cela me laisse un peu de temps pour souffler et de profiter un peu du paysage. Chose amusante, pendant cette journée, nous sommes au dessous du brouillard et au dessous des nuages, ce qui nous offre une mer de nuage dans un cadre tout gris.

L’ascension continue et nous arrivons au sommet (enfin, personnellement j’arrive 30min après tout le monde) où je découvre que nous sommes au même niveau qu’un télésiège de la station des Aillons. Heureusement que nous sommes montés en peau de phoques car il était fermé. La fin de l’ascension était assez pénible pour moi car en fait mes cales n’arrêtait pas de pivoter et du coup ma chaussure se bloquait en mode descente, m’obligeant à déchausser.

A peine arrivés (enfin, pour moi…), nous nous préparons à redescendre. Je ressert mes fixations avec un tournevis que j’avais prévu à cet effet. Puis, en repensant à tous les cailloux que j’ai heurté avec mon bâton lors de la montée, je fais une petite prière pour que mes skis survivent à la descente. Tout le monde repart, Aurélien en mode télémark vu que sa chaussure à eu un petit problème technique (bon… il se débrouille mieux que moi… et encore avec des chaussures pas prévu pour…). J’attaque la descente et dès mon premier virage je me pète la gueule, autant dire que les gens qui était au somment on vite vu la différence entre moi, le pro du surf, le pro du ski et le pro du telemark.

Juste après, Aurélien me dit que le premier mur à descendre est plein de cailloux, alors je me sépare pour emprunter un mur moins caillouteux (enfin j’espère). Les ayant perdus de vue, j’essaie de retourner vers l’endroit où ils sont descendu. Je met 15min à faire une traversée au dessus d’une forêt, à passer un barbelé pour rejoindre leur trace pour me rendre compte ensuite que cela rejoignait directement là où j’étais avant.

Avec tout ce temps perdu, je ne sais plus vraiment quels sont leurs traces et je commence à suivre les premières que je vois. Je me fais plaisir par moment et à d’autres moments je pleure mes pauvres skis qui viennent de se prendre un caillou. Je commence à les maudire en me disant que je n’ai jamais autant touché de cailloux en ski de rando, mais je continue à descendre en empruntant des chemins improbable. A un moment, je prends une petite route avec des rails de montée mais j’ai vite compris que comme pour les trains, sous les rails il y a souvent des cailloux.

Je continue ma descente en solitaire en pensant à mes camarades qui doivent s’inquiéter et se demander où je suis. J’imagine qu’il pense que je suis déjà arrivé depuis longtemps, ce qui aurait été le cas si j’avais suivi nos traces de montée. Mais au lieu de faire cela, j’ai préféré faire de longue traversée dans le but de visé le village en dessous. Grâce à ces belles traversées, j’ai même eu la chance de tester toutes les façons de franchir les barbelés : de face, en parallèle et même en déchaussant et en passant entre les fils après avoir démonté les fils des piquets (que j’ai ensuite remis dans les clous).

Après tout cela, j’approche du village et je vois Aurélien qui était en train de remonter à ma recherche. Nous rejoignons ensuite Guillaume et Jérémy à la voiture où nous décidons de ne pas remonter vu qu’il y a quand même pas mal de cailloux, même si par moment il y a de la bonne neige. Jérémy quand à lui décide de remonter en partant avec des amis qui venaient d’arriver. Finalement, mes skis ont bien été baptisés avec quelques traces mais qui sont heureusement que superficielles.

Pour résumer, bien content d’avoir fait cette sortie, j’ai encore beaucoup de progrès à faire avant d’avoir le niveau de certain et les traversées hasardeuses c’est pas le pieds. Finalement, la sortie était assez tranquille (+600 / -600m), un bon petit entrainement.

Nb sorties ski alpin : 6
Nb sorties ski télémark : 2
Nb sorties ski randonnée : 1
Total dénivelé randonnée : +600m / -600m
Total sorties ski : 9

Voici quelques photos :

Et le tracé :

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panorama

Fin avril, le ski en station commence a être très délicat, mais en peau de phoque c’est encore possible en faisant attention au condition climatique. Pour ça, direction le col du Galibier et plus précisément le Pic Blanc du Galibier.

Pour cette époque, il vaut mieux partir tôt pour avoir de la neige correcte. Pour cela, départ 5h de Grenoble. Il faut un peu de route, mais cela passe bien. Le départ se trouve à deux pas du refuge du Col du Lautaret. La rando consiste à gravir un grand couloir puis à se diriger vers le sommet et faire les derniers virages avec une bonne petite pente. La rando est en plein sur la frontière entre la Savoie (73) et les Hautes-Alpes (05). La vue est très agréable, heureusement il n’y avait pas trop de nuages. Pour la neige, agréable pendant la montée, changeante pendant la descente. Une petite randonnée avec 3h de montée pour un peu plus de 1000m de dénivellé. La descente est très rapide mais on prend le temps quand même pour reposer les jambes.

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Descente Pic Blanc du Galibier


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Et hop, on enchaine sur une deuxième course en Beaufortain dans le week-end, que du bonheur.

Départ en télésiège depuis Arêches pour monter jusqu’au plus haut de la station, c’est à dire départ à 2300m au Col de la Forclaz. Sur le départ, nous avons suivi un groupe de randonneurs que nous avons vite doublé :-) . Petite montée de 400 environ pour rejoindre le Grand Mont avec un beau panorama.

Ensuite descente vers le col de la Louze (marrant comme nom) sur une neige dure, très dure, les jambes ont pris cher. Une fois au col, changement de versant et sur celui-ci une neige excellente. 30cm de poudreuse. Alors au lieu de remonter directement vers notre objectif, nous avons fait deux ou trois trace pour nous faire plaisir.

Après cette petite délectation, nous sommes remonté 300m en faisant de jolis virages et de jolies conversions. Après cela, nous sommes arrivé à la pointe du Riondet pour le pic nic.

Ensuite, nous sommes redescendu dans un petit couloir très sympathique, avec une neige qui l’était tout autant. Une bonne et longue descente jusqu’au barrage de Saint Guérin à partir duquel il a fallu poussé sur les batons. Et enfin, nous avons rejoint le parking au pied des Collombières en suivant la route.

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Col de la Louze

Remontée vers la pointe du Riondet

Barrage de Saint Guérin

Panorama


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Rando à ski dans le Beaufortain (enfin une course dans cette région magnifique)

Départ à ski du chalet (La Frasse à Arêches), montée à travers les bois et par le lac du Clou avec une très belle vue sur Arêches, le Grand Mont et la Roche Pastire. L’arrivée vers l’Epaule de Roche Plane est assez raide mais sympathique. Cette première montée de 1000m permet d’accéder à une sorte de grand plateau en pente (je sais, un plateau c’est sensé être plat…).

Ensuite, une fois la combe descendue, nous avons remonté dans le versant d’à côté après 300 petits mètres de dénivellé pour revenir au chalet.

La neige était un peu changeante mais très correcte pour descendre.

Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).

Voici quelques photos souvenirs et le résultat du tracé.

panorama

Montée face à Arêches

Arrivée


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Panorama Grand Mont Rond

Une petite randonnée à ski bien sympa avec Annick et Nathalie. Les nuages se sont écartés en nous voyant arrivé nous laissant une journée magnifique avec une très belle vue sur le plateau.

Un début de randonnée au col de la Faucille, ensuite traversée des bois pour rejoindre le plateau et avoir le plaisir de faire ses propres traces dans la neige fraiche.  Arrivés en haut du Grand Mont Rond, un magnifique panorama sur le Mont Blanc, le lac Léman et le Jura nous a été offert. Après le pic nic en haut du mont, la descente fut très courte mais sympathique, même s’il a fallut pousser sur les bâtons.

En gros, une rando bien sympa pour reprendre une saison, agréable et pas trop technique. 1h30 pour 300m de dénivelé.

Télécharger le tracé (.kmz à ouvrir avec Google Earth).


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